Feuilles

Translations

traduit par Séverine Magois

La jeune Lori est de retour parmi les siens, à Belfast, après un premier trimestre dans une faculté londonienne où elle a tenté de mettre fin à ses jours. Ses parents et ses deux soeurs ne savent ni ne comprennent ce qui s’est passé au juste.

Dans ce drame noué à l’ombre du conflit irlandais, le père et la mère, démunis, essaient de démêler l’écheveau de cet échec. Les trois soeurs s’efforcent quant à elles de définir ce qu’elles sont devenues les unes pour les autres au sortir de l’enfance.

Lucy Caldwell aborde avec délicatesse la question du suicide des adolescents et nous offre des personnages particulièrement attachants. Elle ausculte les relations familiales avec subtilité à travers une écriture faussement ordinaire, précise et rythmée, souvent teintée d’humour.

Des Vies Parallèles

Translations

traduit par Josée Kamoun

Enfant, Lara voyait peu son père. Chirurgien de renom à Belfast, il ne rentrait que deux fois par mois à Londres pour travailler dans sa clinique. C’est lors des premières vacances familiales en Espagne que Lara avait découvert la vérité : il menait une double vie. À Belfast, avec son épouse légitime et des enfants qui portaient son nom. Et à Londres, avec Lara, sa mère et son petit frère Alfie, ceux qui restaient dans l’ombre.

À bientôt quarante ans, Lara se décide enfin à affronter le passé pour trouver les réponses qui lui ont tant manqué dans sa jeunesse. Elle tente de comprendre les raisons qui ont poussé sa mère à être ” l’autre femme “, celle qui n’est pas reconnue mais qui pourtant existe, subit et aime. Aussi douleureux que soient ses souvenirs, c’est en s’appropriant l’histoire personnelle de sa mère, allant jusqu’à la réécrire, que Lara trouve l’apaisement.

Revue de presse

L’auteur de Des vies parallèles, Lucy Caldwell (dix ans de moins que son héroïne), parvient à transmettre l’histoire en question, et les atermoiements qui l’accompagnent, comme si le lecteur était réellement le témoin d’un roman en train de s’écrire. (Claire Devarrieux – Libération du 11 juin 2015)

L’intérêt du roman de l’Irlandaise du Nord Lucy Caldwell vient de son regard sur un livre qui s’écrit. Par la grâce de son style flamboyant, attentif aux soubresauts des émotions contradictoires, elle met à nu le processus de création, tout en se laissant emporter par des vagues d’inspiration incontrôlées. (Marine Landrot – Télérama du 24 juin 2015)

Le Point de Rencontre

Translations

traduit par Josée Kamoun

À la frontière de deux mondes, l’Occident et l’Orient, Ruth, jeune mariée et jeune mère, mise à l’épreuve par l’inconnu et le danger, doit choisir son camp.

C’est l’heure du départ. Ruth quitte son Irlande natale pour suivre son mari, Euan, envoyé en mission à Bahreïn. Une nouvelle vie qu’elle aborde avec enthousiasme.

Mais isolée avec sa petite fille, Anna, dans un ghetto pour expatriés, à la frontière de deux mondes, l’Occident et l’Orient, Ruth est ébranlée.

” Lucy Caldwell sonde avec une grande justesse le cœur et les reins de ses personnages en proie aux affres de l’amour, de la trahison, de la foi. ” Le Figaro

” Le roman de Lucy Caldwell se dévore. ” The Guardian

” Un bijou littéraire, à la fois émouvant et cathartique. Vous ne l’oublierez pas de sitôt. ” The Independent

Matando el tiempo

Translations

Once relatos que conforman una inspiradora historia de crecimiento de la mano de una de las voces más interesantes de la literatura irlandesa actual.

traducción de Angelica M. Ripa

Los once relatos que conforman Matando el tiempo, cada uno de ellos en forma de inspiradísima historia de crecimiento, llevan al lector de Belfast a Londres en un viaje de ida y vuelta, mientras exploran qué significa hacerse mayor: el dolor y la angustia, la ternura y la alegría, la fugacidad de los primeros momentos destinados a no volver. Son historias sobre primeros amores, el incipiente deseo sexual y seducción, pero también sobre la amistad, la familia y la certeza de haber dejado atrás el niño que una vez fuimos.Lucy Caldwell se adentra en el candor de los más pequeños, en el dolor de la adolescencia y el temor de los padres.

«Estas historias son una imagen fiel de los problemas a los que se deben enfrentar las mujeres de hoy.» The Guardian

«Lucy Caldwell se acerca con una gran sensibilidad a los personajes de su obra. Conoce los rincones más ocultos de su corazón y nos cuenta sus historias de manera veraz y tierna.» The Independent

«Matando el tiempoes un libro que posee una gran vitalidad, inmensamente humano y sincero.» The Irish Times

«Una verdadera obra de arte que nos demuestra cómo todos, pese a lo diferente que podamos ser, sufrimos los mismos problemas ante ese tránsito hacia la vida adulta.» The Scotsman

Matant el temps

Translations

Onze relats que conformen una inspiradora història de creixement de la mà d’una de les veus més interessants de la literatura irlandesa actual.

traducció d’Esther Roig

Els onze relats que conformen Matant el temps, cadascun d’aquests en forma d’inspiradíssima història de creixement, porten el lector de Belfast a Londres en un viatge d’anada i tornada, mentre exploren què significa fer-se gran: el dolor i l’angoixa, la tendresa i l’alegria, la màgia fugissera dels primers moments que mai més no tornaran. Són històries de primers amors, de despertar sexual i seducció, però també d’amistat, de la família i de la certesa de saber que ja no som el nen que vam ser una vegada.

Lucy Caldwell s’endinsa en la innocència dels més petits, els dolors de l’adolescència i el temor, sempre present, dels pares.

«Aquestes històries són una imatge fidel dels problemes als quals han d’enfrontar-se les dones d’avui.» The Guardian

«Lucy Caldwell s’aproxima amb gran sensibilitat als personatges de la seva obra. En coneix els racons més ocults del seu cor, i ens explica les seves històries de manera versemblant i tendra». The Independent

«Matant el temps és un llibre vital, immensament humà i sincer.» The Irish Times

«Una veritable obra d’art que ens demostra que tots, tot i ser diferents, patim els mateixos problemes en el nostre camí cap a la vida adulta.» The Scotsman